Les volumes en bovins de boucherie ne couvrent pas la demande
L’offre en réformes laitières est réduite. Les industriels peinent à couvrir leurs besoins. Certains abatteurs ont des manques dans leurs livraisons.
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L’activité commerciale de ce début de semaine montre une très bonne tenue des prix pour les bonnes femelles parthenaises, blondes d’Aquitaine ou limousines. Les tarifs se situent entre 7,00 et 7,50 €/kg pour les parthenaises, entre 6,50 et 6,80 €/kg pour les blondes d’Aquitaine, et entre 6,30 et 6,50 €/kg pour les limousines et charolaises U sur le marché de Cholet. L’ensemble des vaches R sont négociées entre 6 et 6,25 €/kg.
Comme dans les autres pays de l’Union européenne, les abatteurs relèvent leurs tarifs, pour répondre au déficit d’offre. Les bonnes vaches prim’holstein P+/O– sont valorisées entre 5,55 et 5,65 €/kg selon les abattoirs, et autour de 5,50 €/kg pour les P=3. Les prix des normandes et des montbéliardes progressent également. Ils affichent entre 5,60 et 5,80 €/kg pour les O, et montent à 5,85 €/kg pour les bonnes R.
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